Le gaz vert, déjà une réalité

Atteindre 100% de gaz vert dans les réseaux est le cap que s’est fixé GRDF à l’horizon 2050. Au vu de la dynamique territoriale actuelle, cet objectif est atteignable. C’est ainsi que nous nous mobilisons chaque jour pour développer cette énergie locale et 100% renouvelable. Tour d’horizon.
Le réseau de distribution de gaz passe au vert
L’injection du biométhane, un gaz vert produit localement à partir de déchets organiques, est autorisée en France depuis 20111. En 10 ans, beaucoup de chemin a été parcouru avec aujourd’hui 218 sites d’injection2 sur tout le territoire français. Et cette dynamique n’est pas près de s’essouffler : on dénombre, en effet, plus de 1 100 projets en cours3.
218 sites de méthanisation en France, c’est une capacité de production de 3,9 TWh, soit l’équivalent de 326 000 foyers alimentés par du gaz vert4 ou encore de 15 300 bus roulant au BioGNV.
Découvrez les sites de méthanisation près de chez vous
Le gaz vert, pour répondre aux objectifs fixés en matière de transition énergétique
Des objectifs ont été fixés au niveau national et européen en matière de transition énergétique. Parmi eux, on retrouve les ambitions suivantes :
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Avoir 8 % d’énergie renouvelable en 2028 dans les réseaux de gaz, selon la loi Energie Climat du 9 novembre 2019,
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Avoir une production de biogaz comprise entre 24 et 32 TWh/an en 2028, selon la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE) publiée en 2019.
Au vu de la dynamique territoriale actuelle, ces objectifs sont largement atteignables.
Dans son étude « Un mix de gaz 100% renouvelable en 2050 ? », l’ADEME estime qu’il serait possible de couvrir 100% des consommations gaz par du gaz renouvelable d’ici 30 ans.
GRDF est mobilisé pour accélérer le développement du gaz vert
Convaincu de la place incontournable du gaz vert dans le mix énergétique français, GRDF se mobilise au quotidien :
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En communiquant sur ses atouts et ses usages,
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En accompagnant les agriculteurs, les collectivités et les industriels dans leurs projets de méthanisation,
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En raccordant les sites de méthanisation au réseau de distribution et en assurant l’exploitation des postes d’injection,
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En mettant en place des partenariats avec des acteurs institutionnels du monde agricole, de la recherche ou du secteur associatif pour promouvoir et développer la méthanisation,
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En coorganisant des ateliers avec l’ADEME pour lever les freins à son développement.