L’info en bref : qui est concerné par l’arrêté du 23 février 2018 ?

Tous les nouveaux projets immobiliers à compter du 1er janvier 2020 sont concernés par cette nouvelle réglementation.

Les règles de construction n’avaient en effet pas changées depuis le dernier arrêté d’août 1977. En 50 ans, les enjeux énergétiques du bâtiment ont eu le temps d’évoluer. Mixité d’usage, qualité architecturale, autoconsommation collective… Ce sont autant d’enjeux de la ville de demain qui sont soutenus par le nouvel arrêté du 23 février 2018.

Focus sur les principaux changements liés à l’arrêté du 23 février 2018

Le nouvel arrêté offre de nouvelles opportunités en termes de conception face à certaines problématiques techniques. A titre d’exemple, on peut citer :

• Les canalisations de liaison dans des bâtiments compacts ou sans parties communes.
• Les sites de production d’énergie pour la mise en œuvre des technologies telles que la cogénération ou la pile à combustible.
• La prise en compte d’appareils gaz implantés à l’extérieur.
• L’alimentation en Gaz Naturel Comprimé (GNC) des véhicules automobiles.

Résolument ouverte sur l’avenir, cette réglementation autorise l’innovation. Le nouvel arrêté fixe des objectifs à atteindre et il est soutenu par des guides évolutifs qui présentent des solutions techniques.

Aller plus loin : en savoir plus sur l’arrêté du 23 février 2018

Vous avez encore des questions sur l’arrêté du 23 février 2018 ? Vous aimeriez en savoir plus sur les opportunités de construction qu’il apporte ?

Les guides techniques évolutifs du nouvel arrêté sont disponibles sur le site du Centre national d’Expertise des Professionnels de l’énergie gaz (CNPG). 

Vous pouvez également appeler nos experts Cegibat. Ces derniers répondront à toutes vos questions pour vous aider à construire les bâtiments de demain.